Rima Abdul-Malak Vie Privée – Rima Abdul-Malak, nommée ministre de la Culture en mai de l’année dernière, est l’une des fonctionnaires les plus modestes. En lui consacrant son portrait du jour du 23 août, le journal Libération fera un effort de réconciliation. La fille de Roselyne Bachelot évoque sa vie avec sa famille, son métier et ses relations amoureuses.
Couples en politique et en amour. En raison de la complexité du sujet, la plupart des ministres restent en dehors des débats publics à ce sujet. Un profil de Rima Abdul-Malak est paru dans le numéro du 23 août des chroniques de Libération. C’est l’occasion idéale pour cette jeune ministre de la culture de raconter son histoire et, qui sait, peut-être même de recevoir quelques encouragements.
Premiers métiers, rêves et débuts… Roselyne Bachelot revient profondément sur ses expériences de vie et son enfance dans son prochain livre. La personne s’identifiant comme “célibattante” est généralement de nature “hétéro sans enfant”. “Tous les amours se valent” et “tous les couples doivent être égaux en droit”. sont deux choses qu’elle veut transmettre.
Le ministre a donc 43 ans et est célibataire. Malgré tout, il semble poursuivre ses recherches dans la rue de Valois. Cette Libanaise, née et élevée dans le pays, a sans doute longtemps travaillé dur pour réaliser ses rêves avant de devenir fonctionnaire du gouvernement.
Alors qu’elle faisait partie de la « génération Delanoë », que beaucoup considéraient comme l’analogue politique du Real Madrid au début des années 2010, Rima Abdul-Malak a débuté sa carrière culturelle chez Clowns sans frontières. L’association créative et humanitaire engage la jeune lyonnaise d’adoption ambitieuse pour réaliser un audit une fois ses études terminées à Science-Po Lyon. Elle part pour Israël six mois plus tard. Perspicace ; l’ONG gagnerait à l’avoir comme président.
Une loyauté constante envers le président : le « principal défaut » de Rima Abdul-Malak
La Gaîté Lyrique, le festival Séries Mania ou encore le CentQuatre font partie des démarches artistiques que Rima Abdul-Malak et ses collègues lancent aujourd’hui à l’Hôtel de ville de Paris. Du coup, Emmanuel Macron a la mainmise depuis 2019 sur la brillante carrière politique de la trentenaire.
Sa volonté lointaine d’aider le monde culturel, durement frappé par la crise du Covid-19, reste intacte, même si ses “admirateurs” voient dans son dévouement au président le “principal défaut” du ministre, comme l’interroge Libération. Il n’aurait pas dû faire cela car lui et son prédécesseur, qui la détestait, se seraient disputés.
Rima Abdul Malak est une éminente politicienne libanaise née le 11 février 1979 à Beyrouth. Elle a la double nationalité française et libyenne. Elle retourne à l’Institut d’études politiques de Lyon en 1999 après avoir terminé ses études au lycée international de Lyon et obtient son diplôme cette année-là.
En 2000, elle a obtenu un doctorat. en philosophie de l’Université Panthéon-Sorbonne de Paris, où elle s’est concentrée sur la collaboration et le développement mondiaux. Au début de sa carrière, Rima Abdul Malak travaille au sein du Comité catholique contre la faim et pour le développement.
Elle a dirigé la programmation de Clowns sans frontières de 2001 à 2006 avant de prendre la tête du pôle musiques de Culturesfrance. Rejoindre l’équipe de Christophe Girard en tant qu’attachée à la culture à la mairie de Paris constitue un tournant dans sa carrière politique.
Bertrand Delanoë, maire de la capitale de 2012 à 2014, choisit le jeune homme politique pour être son conseiller culturel. Elle prend un tournant mondial dans sa carrière après avoir été nommée attachée culturelle à New York. Sous l’administration Borne, elle a été nommée ministre de la Culture en mai 2022.
Rima Abdul Malak est issue d’une famille très religieuse au Liban, qui a toujours été sa vie privée. A dix ans, elle quitte le Liban à cause de la guerre déclenchée par le général Michel Aoun à la fin des années 1980. Cet horrible événement a profondément marqué la jeune femme, qui raconte avoir été paralysée par la peur lorsqu’elle a vu sa maison attaquée par des objets tachés de sang.
Sa famille, dont ses trois enfants, suit la décision de ses parents de s’installer à Lyon. Cette ville revêt une importance particulière pour le patriarche de la famille car il a obtenu son baccalauréat dans cette université. Le monde a accueilli Rima Abdul-Malak, une femme d’origine française et libyenne, en 1978.
Elle et sa famille ont quitté le Liban pour s’installer à Lyon alors qu’elle était enfant. Son diplôme de premier cycle en sciences politiques de l’Institut d’études politiques de Lyon en 1999, et son doctorat en développement international et coopération de l’Université Panthéon-Sorbonne en 2000.
Au début des années 2000, Rima Abdul-Malak se lance dans une carrière dédiée au travail humanitaire. Elle a d’abord acquis une expérience pratique dans la région en faisant du volontariat dans les zones israéliennes et palestiniennes auprès du Comité catholique contre la faim et pour le développement (CCFD).
Elle est ensuite devenue directrice de l’association à but non lucratif Clown sans frontières en 2001, qui propose des spectacles de marionnettes aux enfants des zones de guerre. Elle y est restée six ans avant de partir pour poursuivre une autre carrière. Elle travaille à l’Institut français depuis 2007, date à laquelle elle a été nommée directrice du pôle musique actuelle.
La mairie de Paris entame le mandat de six ans de Rima Abdul-Malak l’année suivant son arrivée. Après avoir travaillé deux ans à la mairie de Paris en tant que conseiller culturel, Christophe Girard devient directeur de cabinet en 2010. Dans deux ans, elle assumera le rôle de conseillère culturelle de Bertrand Delanoë, maire de Paris.
Après s’être établie professionnellement à l’étranger, Rima Abdul-Malak est nommée attachée culturelle à l’ambassade de France à New York en 2014. Son nouveau rôle au sein du département “Spectacles vivants et Arts visuels” l’occupera jusqu’en 2018. Rima Abdul-Malak succédera à Claudia Ferrazzi en tant que conseillère culture et médias de l’Elysée au départ de Ferrazzi en décembre 2019.
Dans le gouvernement d’Elizabeth Borne, elle a été nommée ministre de la Culture le 20 mai 2022. La ministre a annoncé son test positif au COVID-19 et sa mise en quarantaine ultérieure le 1er décembre 2022 sur Twitter. Cela l’a amené à renoncer à se rendre aux États-Unis pour rencontrer Emmanuel Macron.
Depuis sa naissance en 1978 jusqu’à l’âge de 10 ans, Rima Abdul-Malak vivra au Liban. La famille déménage à Lyon, en France, à cette époque. Deux de ses diplômes sont en sciences politiques et elle possède également une certification en développement et coopération internationaux.
Membre du Comité catholique contre la faim et pour le développement, elle débute sa carrière en Israël. Dans son nouveau rôle de directrice de Clown sans frontières, elle poursuit son action humanitaire. Son mandat à Culturesfrance s’étend sur 2007-2008. Elle retourne ensuite travailler à la Mairie de Paris, cette fois avec Christophe Girard, et après un long mandat là-bas, elle devient directrice de cabinet.
Elle continue de gravir les échelons de la Mairie et d’occuper de nombreux postes jusqu’en 2014, date à laquelle elle reprend ses différentes fonctions au service culturel de l’ambassade de France à New York. Acquise en novembre 2019 comme conseillère en culture et communication à la Présidence de la République, elle reviendra en France. Dans le gouvernement d’Elizabeth Borne, elle est nommée ministre de la Culture le 20 mai 2022.
“C’est ma super copine” : le lien mystérieux entre une célèbre chanteuse et Rima Abdul-Malak, la nouvelle ministre de la culture. La nomination de Rima Abdul-Malak au poste de ministre de la culture a particulièrement séduit Matthieu Chedid. L’artiste n’a pas adouci sa relation avec l’homme politique.
La nomination de Rima Abdul-Malak au poste de ministre de la culture a particulièrement séduit Matthieu Chedid. Beaucoup attendaient avec impatience de savoir qui sera nommé au cabinet. A seize minutes, vendredi 20 mai, le suspense a finalement pris fin. Il est vrai qu’Elisabeth Borne remplace officiellement Jean Castex. Après le mandat d’Edith Cresson en 1991, cette femme est désormais ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Intégration.
Elizabeth Borne a utilisé Alexis Kohler pour détourner l’attention du gouvernement de Jean Castex du maintien de certaines identités. Parmi eux figurent Bruno Le Maire, le ministre des finances et de l’économie, Eric Dupond-Moretti, la garde des côtes, et Gérald Darmanin, le ministre de l’intérieur.
Parmi les nombreux nouveaux visages du gouvernement, Rima Adbul-Malak n’en est qu’un. Compte tenu du statut de Rima Adbul-Malak en tant que leader du secteur, cela se produit comme prévu. Le « Pôle musiques actuelles de l’Institut français en 2007 » était l’un de ses nombreux postes. Si Bertrand Delanoë était maire de Paris, elle était aussi sa conseillère culturelle.
Les artistes célèbres aiment et connaissent bien Abdul-Malak Rima
L’amitié du chanteur Matthieu Chedid avec le nouveau ministre de la culture est évoquée dans un reportage du Parisien. Il affirme que lui et l’épouse du politicien entretiennent des relations étroites depuis de nombreuses années. Exprimer la joie du chanteur face à la nomination de Rima Abdul Malak était crucial. Lui avait-il communiqué : “C’est une des plus grandes nouvelles de l’année, ça m’épate”
Je suis assez proche d’elle. Notre quartier était très similaire. La mère de mon arrière-petite-fille Billie était Céline, une de ses connaissances à Clowns sans frontières. “Nos concerts ensemble sont remplis de merveilleux souvenirs, rendus possibles par cette structure”, a déclaré l’interprète en guise de déclaration finale.
Tous ses proches et mon partenaire escroc Ibrahim Maalouf sont d’origine libyenne. Sa gentillesse, son sang-froid et son intelligence sont vraiment étonnants. Elle est très impliquée, a beaucoup de goût, est cultivée et sociable. Nous avons appris qu’elle aime la musique et ses artistes et qu’elle est une vraie croyante.
Dans ce dossier, le plus proche collaborateur d’Emmanuel Macron s’est vu confier des fonctions importantes au sein du ministère de la Culture. Durant ses vingt-deux années à l’Élysée, Rima Abdul Malak avait été sa conseillère sur ces dossiers. Parmi les premiers à réagir aux effets profonds de la crise sanitaire sur le secteur, on trouve ce franco-libanais spécialiste du spectacle vivant.
Le fonds d’aide et l’année blanche pour les intermittents sont deux des principales initiatives qu’elle a contribué à lancer en faveur des artistes. Pour avoir porté Pass Culture à notre attention, nous lui sommes également reconnaissants. Lors de cette situation, elle était là, juste à côté de Roselyne Bachelot.
Aurélien Binder, PDG de Fimalac Entertainment, a félicité la société pour avoir “identifié rapidement les enjeux majeurs de cette reprise très difficile”, malgré le fait que les troubles persistants en Ukraine affectent les théâtres, les salles de concert et les producteurs de musique, faisant grimper les coûts de production.
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